Mise en service virtuelle : réduire les coûts et améliorer la validation des machines
Publié le 1 octobre 2025 dans Industry 4.0
Comment la mise en service virtuelle peut-elle éliminer les confusions coûteuses et permettre aux fabricants d'innover en toute confiance ?
Qu'est-ce que la mise en service virtuelle ?
Le secret est plus simple que vous ne le pensez : il suffit d'installer des sous-compteurs. Grâce à eux, vous pouvez voir où l'énergie est réellement consommée, qu'il s'agisse de lignes, de zones ou même de machines individuelles. Et même si cela peut sembler trop simple, les sous-compteurs vous permettent d'isoler les gros consommateurs d'énergie, de repérer les consommations inutiles et, au final, de définir des indicateurs de performance clés (KPI) réels.
Au-delà de la simple alimentation électrique, les environnements de production doivent également surveiller des paramètres connexes tels que le débit d'air, les systèmes de refroidissement et même l'utilisation d'air comprimé. Les capteurs de débit, les capteurs thermiques et les transmetteurs de pression sont vos alliés dans ce domaine. Ils constituent une assurance peu coûteuse contre le gaspillage et une base solide pour la génération de données sur vos émissions de carbone.
Comme l'ajoute Stefan Jensen, de plus en plus de clients vous demanderont votre empreinte énergétique par pièce, et la dure réalité est que si vous ne pouvez pas leur fournir de chiffres réels, quelqu'un d'autre le fera.
Quatre applications clés
2. Réduction du temps et des coûts après l'installation